Jena venait à peine d'être envoyé en prison qu"elle avait été emmené chez la psychologue de la prison. Menottes aux mains, Jena, le regard perdudans ces pensées, avançait péniblement sentant à chaque pas son estomac se nouer. Qu'allait penser la psychologue ? Et puis qui pourrait croire sa version à propos de sa folie ?? Personne. Même la meilleure psy ne pourrait l'aider. Jena se rappelle encore des mots prononçés par le juge qui lui ont d'ailleurs fait un grand choc : "accusée", "à vie" et état mental à améliorer".
Le garde qui emmenait Jena la poussa dans une salle. Puis lui détacha les mains. Tout en se frottant ses poignets, Jena balaya la salle des yeux et apperçut la psychologue. Jena avança , tête baissée et en silence, attendant que la psycologue lui pose des questions.